L'éducation aux Pays-Bas peut néanmoins continuer à utiliser les services Google dont nous avons déjà mentionné que l'éducation devrait arrêter les services Google pour des raisons de confidentialité.
Le fait que l'éducation puisse continuer à utiliser Google est dû au fait que des engagements concrets ont été pris par Google. Les lacunes précédemment identifiées par l'autorité néerlandaise de protection des données (AP) seront supprimées.
Surf, le club d'achat Sivon et SLM Rijk ont conclu un accord avec Google à cet effet. Le géant des moteurs de recherche va prendre diverses mesures techniques et organisationnelles pour se conformer à la législation GDPR.
Google pense qu'il peut réduire les risques élevés à temps. Il a également été discuté que le 21 juillet prochain, il sera annoncé comment ces accords prendront forme. D'autres services Google largement utilisés dans l'éducation, tels que Google Cloud Platform et Chrome OS, seront également projetés lors de futures réunions entre Google, Surf et Sivon.
Tout cela ressort d'une lettre de la ministre Ingrid van Engelshoven (Éducation, Culture et Science) et du ministre Arie Slob (Enseignement primaire et secondaire et Médias) à la Chambre des représentants. Surf et Sivon sont confiants dans les engagements pris par Google. Les effets sur la vie privée de l'utilisation des Chromebooks populaires sont toujours en cours d'évaluation. Les résultats seront discutés avec Google, ce qui a déjà été fait avec les services Google.
L'accord renouvelé a des conséquences pour l'éducation. De nouveaux contrats devront être conclus. De plus, les paramètres techniques devront également être ajustés afin de pouvoir utiliser les services Google en toute sécurité.
